NOUVEAU LIVRE COLLECTIF auquel j’ai l’honneur et le plaisir de contribuer avec un chapitre intitulé « la supervision en corps ».
La supervision basée sur le cœur offre une approche puissante et pleine d’espoir pour les superviseurs, les coachs et les accompagnants dans un monde décrit comme BANI (Fragile, Anxiogène, Non-linéaire, and Incompréhensible). Ce livre approfondit le concept d' »être humain ensemble » et souligne l’importance des relations centrées sur le cœur dans la supervision, qui ont le pouvoir de favoriser des conversations réflexives profondes et une transformation positive dans un monde complexe et ambigu.
Contrairement à de nombreux autres ouvrages sur la supervision qui se concentrent sur le « savoir », le « savoir-faire » et le « savoir-faire comportemental », ce livre se distingue en explorant la dimension profonde de l' »être humain ensemble ». Il s’appuie sur des recherches récentes sur l’empathie, la compassion, l’intelligence créative et somatique pour proposer une approche centrée sur la relation et basée sur le cœur.
Ce livre offre de l’espoir et de l’inspiration aux superviseurs, coachs et facilitateurs qui cherchent à avoir un impact positif sur leur pratique et le monde qui les entoure.
Les six co-auteurs sont des professionnels expérimentés dans le domaine de la supervision, du coaching et de l’accompagnement du leadership. Leur expertise collective et leur engagement cherche à sensibiliser les professionnels de l’accompagnement à la beauté, à la musicalité et à la puissance de la supervision basée sur le cœur. Ils espèrent inspirer les lecteurs à oser des échanges créatifs et audacieux dans leur pratique de coaching ou de supervision, en connectant l’humain à l’humain, le cœur au cœur.
« Ce livre apporte un « supplément d’âme” à tout ce que j’ai pu lire sur la supervision des professionnels de l’accompagnement. Chaque article est étayé de nombreuses sources provenant de référentiels variés (philosophiques, approches thérapeutiques et de croissance personnelle, écrits spirituels, neuroscientifiques, etc.), ce qui situe le travail dans un champ très vaste et évite l’écueil de l’auto-référencement. » Philippe Geffroy